Documentaire : fonds d'aide à l'innovation audiovisuelle (aide à l'écriture) : résultats de la commission du 26 juillet 2005
Résultats des commissions
26 juillet 2005
J’AURAIS DU ME TAIRE de Christophe BARGUES
Contact : 06 03 40 21 25
"Depuis deux ans, une organisation s’en prend ouvertement à moi. Mais "ouvertement" seulement devant moi. Leur but : me ruiner, me faire passer pour un fou, me rendre fou, me pousser au suicide". L’histoire des dernières années de la vie de mon frère atteint d’un délire paranoïaque.
UNE PRISON DANS LA VILLE de Catherine RECHARD
Contact : 01 40 21 66 72
A Alençon, la maison d’arrêt est située au coeur de la ville, dans les murs d’une ancienne forteresse du XIVe siècle. Malgré sa position centrale elle reste invisible à qui choisit de l’ignorer pour ne voir que le monument historique.
Le film est centré autour de la question du regard et s’interroge sur la façon dont chacun des deux univers perçoit celui qui lui fait face. Il confronte les regards que posent sur leur environnement visuel les occupants de la maison d’arrêt et le discours sur la prison qui se tient à l’extérieur.
OU SONT LES DOCUMENTS ? de Flavia CASTRO / LES FILMS DU POISSON
Contact Les Films du Poisson : 01 42 02 54 80
Porto Alegre, Brésil, 5 octobre 1984. Première page du journal : "militant d’extrême gauche fait un hold-up chez ex-consul du Paraguay, puis se suicide". Le militant d’extrême gauche, c’est mon père. L’ex-consul, un ancien nazi sur qui il menait une enquête… Par ce film, je pars à la recherche du "comment" et du "pourquoi" de cette mort, en refaisant le parcours d’une vie faite de militantisme et d’exils successifs. C’est une recherche intime que je mène en compagnie de mon petit frère et de ma demi-soeur, sur les traces de notre passé et sur celles d’une génération en lutte.
L’ADIEU A BEDOUIN de Waldeck WEISZ
Contact : 01 44 67 02 89
C’est une journée d’automne au pied du Mont-Ventoux.
Un paysage de vignes et de cerisiers, où vivent encore des agriculteurs. On y rencontre même des paysans parvenus au crépuscule de leur vie qui ont connu l’époque du cheval puis celle de la mécanisation. Une expérience humaine unique qui témoigne du basculement d’un monde à un autre. Et un film qui va l’évoquer, le toucher sans jamais le reconstituer.