Documentaire : fonds d'aide à l'innovation audiovisuelle (aide à l'écriture) : commission du 17 mars 2011
Résultats des commissions
17 mars 2011
La beauté du guerrier de Pierre Coulibeuf
Contact : pierre-coulibeuf@orange.fr
Portrait à la fois réel et imaginaire de l’artiste flamand Jan Fabre. Ce portrait s’appuiera sur ses performances artistiques, en étroite relation avec Anvers, en Belgique, sa ville natale, source d’inspiration, espace de travail et laboratoire de l’artiste.
Cette mélodie qui vient de loin de Miguel Cabral
Contact : quandoquiseres@gmail.com
José Moraes est aiguiseur de couteaux itinérant. Il effectue, un mois sur deux, un voyage de trois semaines en camionnette et à bicyclette à travers l’Espagne et le Portugal, traversant des espaces et des paysages différents et contradictoires. Des villes où la modernité est de plus en plus présente, aux campagnes où les traditions sont encore très vivantes, nous partirons à la rencontre de sa clientèle, fidèle ou croisée lors de son périple : les cuisiniers, les bouchers, les couturiers, les imprimeurs ou même les médecins…
Dis-moi où tu habites de Marina Déak
Contact : marina.deak@club-internet.fr
A la campagne, en banlieue, dans des campings. Dans la Nièvre avec un agent immobilier, à la Grande Borne en suivant une équipe d’urbanistes, au Pont-de-Rupé au hasard des emplacements de caravanes. Des rencontres, des archives, des images cachées. Trois lieux et trois approches pour une question commune : comment habite-t-on en France aujourd’hui, comment vivons-nous ensemble ?
Pavane pour un vieux soldat de Henry Colomer
Contact : henry.colomer@orange.fr
Un voyage dans le temps, personnel, qui est aussi un voyage musical. Portraits croisés d’artistes dont les œuvres, composées pendant la Guerre de Trente Ans, portent un témoignage bouleversant de la fragilité et de la beauté de la vie humaine.
Quelques jours ensemble de Stéphane Breton
Contact : sb@beamo.org
Quelques jours dans un wagon de troisième classe traversant la Russie, en compagnie d’inconnus qui racontent d’autant plus facilement leur vie qu’on ne les reverra jamais.