Documentaire : fonds d'aide à l'innovation audiovisuelle (aide à l'écriture) : résultats de la commission du 29 avril 2014

Résultats des commissions

29 avril 2014


Dans la ville (ou les pères du désert) de Darielle Tillon
Contact : darielle.ti@gmail.com
Des jeunes rennais, une ville, une traversée dans la forêt.

Façades de Ruth Zylberman
Contact : ZADIG PRODUCTION – Mathilde Raczymow : mathilde.raczymow@zadigproductions.com
L’histoire de trois immeubles et de ses habitants à Paris et à Varsovie depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours ou comment réinscrire l’histoire et sa remémoration dans des lieux, des topographies, comment donner corps et pierre à des trajectoires de vie, des interactions, des mémoires, des oublis et aux strates du temps.

L’Otan et moi d’Ana Otasevic & Lucas Tua
Contact : aotash@yahoo.comlucas.tua@gmail.com
C’est l’histoire du combat d’un Rom Kosovar, Nedjo, la quarantaine, qui a vu sa maison au Kosovo brûler au JT pendant la guerre. Exilé à Strasbourg avec femme et enfants, Nedjo, seul contre tous, décide de se battre pour demander réparation. D’administrations diverses en avocats, il n’a d’autres choix que de porter plainte contre l’OTAN. Le film se déroule dans un aller-retour entre la France et le Kosovo, entre présent et passé, entre les institutions européennes à Strasbourg et l’administration kosovare. De retour à Mitrovica, Nedjo prépare une projection fédératrice avec ses amis de toujours au café « La dolce vita »

Sans gravité de Murielle Labrosse
Contact : LATERNA MAGICA – Emmanuelle Mougne : emmougne@yahoo.fr
Mon oncle Maurice est mort indigent.
Cette mort révoltante me rend captive d’une enquête sur lui, sur moi, sur l’humanité.

Swagger d’Olivier Babinet
Contact : olivierbabinet@yahoo.fr
36 heures à l’intérieur de la tête d’adolescents fanfarons ; la réalité d’un collège d’Aulnay-sous-Bois, traversée de rêveries et de désirs secrets.

Les voix du silence de Christophe Bisson
Contact : TRIPTYQUE FILMS – Guillaume Massart : contact@triptyquefilms.com
A travers les récits d’anciens sans-abris de Porto, je voudrais faire apparaître et rendre sensible l’expérience concrète de la vie dans la rue.
Comment survivre dans le dénuement extrême qu’impose la grande misère ? Quelles sont les ressources ultimes qu’ils mobilisent en eux pour faire reculer la mort ?
J’aimerais comprendre, à travers la parole même des anciens sans-abris, comment ils font pour tenir, malgré tout, dans l’intenable de la vie sans domicile fixe.