Documentaire : fonds d'aide à l'innovation audiovisuelle (aide à l'écriture) : résultats de la commission du 4 novembre 2013

Résultats des commissions

04 novembre 2013


L’âcre parfum des immortelles de Jean-Pierre Thorn
Contact : jp.thorn@wanadoo.fr
Un journal intime (poétique et politique) partant d’extraits de mes films (de Mai 68 au Hip Hop dans nos banlieues) pour retrouver ce qu’en sont devenus les principaux personnages. Que reste-t-il de leurs utopies ? A travers cette quête, le surgissement de l’image que toute ma vie j’ai cachée : celle du corps de mon amante disparue à 25 ans. Au-delà des traces de cette histoire, chercher les raison profondes de mon destin : pourquoi je filme ? Pourquoi l’usine ? Pourquoi le Hip Hop ?

La frontière déplacée de Gilles Weinzaepflen
Contact : gillestoog@gmail.com
La frontière franco-allemande de 1871 s’efface dans le paysage et la mémoire. Son histoire nous fait signe aujourd’hui, à l’heure où les questions d’identité nous interrogent, dans un monde aux limites en mutation. 4056 bornes en pierre serpentent dans le Grand Est, du Luxembourg à la Suisse : combien en trouverai-je ?

Gouverner la ville de Petr Vaclav
Contact : pvaclav@free.fr
Une commune de vingt-cinq mille âmes, minée par le chômage et par les scandales politico-judiciaires locaux cherche à élire son maire.

La question sauvage de Romain Cogitore
Contact : contact@romaincogitore.com
Un fauve, qu’on croyait disparu depuis un siècle, réinvestit un massif. Des centaines de moutons se font égorger, leurs bergers se retrouvent en péril. Si les troupeaux disparaissent, la montagne retournera à l’état de friche, impraticable. Et si les derniers éleveurs abandonnent, qui restera pour peupler le massif ? Faut-il pour autant tuer le fauve ? Quelle(s) espèces(s) protéger ?

Le monde s’ouvre la nuit et se referme au petit matin de Chantal Richard
Contact : chant.rich@gmail.com
Le monde qui s’ouvre la nuit est celui où les frontières semblent s’abolir pour des garçons de vingt ans qui vivent dans un petit village du Sahel sénégalais et voyagent la nuit par les réseaux sociaux. Celui qui se referme au petit matin est un monde où tout projet de voyage, de migration ou de travail semble inaccessible à ces garçons.