23e édition du Festival International des Cinémas d'Asie (FICA)

Fondé en 1995, le Festival International des Cinémas d'Asie est le plus ancien, avec 30 000 spectateurs, le plus populaire et avec 90 films, le plus important des festivals de cinéma d'auteur asiatique d'Europe et, actuellement, le seul de sa spécificité en France.

Avant-première

Nouveautés cette année, la section avant-première a pour but de resserrer les liens avec les distributeurs français.

Films en compétition

Cette année, la compétition fiction mettra en œuvre 9 films, tandis que 8 films seront présentés dans le cadre de la compétition documentaire. La présidente du jury international est Rakshan Bani-Etemad, grande cinéaste iranienne.

Sections thématiques

•    Japanimation

Deux films d'animation seront présentés : Lettre à Momo de Okiura Hiroyuki et Your Name de Shinkai Makoto.

•    Campagnes d’Asie

Cette section thématique vous permettra de découvrir de nombreux paysages à travers 21 films provenant de toute l’Asie.

Trois pays à l'honneur

•    Le Japon se met à table

L’incroyable diversité de la tradition culinaire japonaise, unique au monde, vaut à la fois par sa géographie particulière et par les nombreuses innovations étrangères adaptées au cours des siècles. Des dizaines de longs métrages se servent de la nourriture comme point de départ. Cette section se veut un aperçu de ce véritable genre cinématographique nippon, dont la diversité équivaut au moins celle de la richesse de sa cuisine.

•    Maîtres du cinéma sri lankais

Si le cinéma sri lankais est souvent indissociable du cinéma indien, il a su se forger sa propre identité au fil des décennies en créant l’un des cinémas les plus poétiques et hantés qui soit. Un cinéma mal connu que le FICA aimerait remettre au goût du jour avec la diffusion de chefs-d’œuvres ignorés.

•    Regard sur le cinéma géorgien

Géorgie est un pays du Caucase, à l’ultime limite géographique de l’Asie, non loin de l’Europe. Avec la chute du communisme et l’indépendance, d’autres problèmes apparaissent avec les guerres. Les cinéastes géorgiens apparus après la chute du communisme sont souvent formés en Europe occidentale. Leurs films traitent des conflits mais aussi des difficultés de la société géorgienne d’aujourd’hui.

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