Le meilleur du court métrage international aux Nuits en Or 2023

Le meilleur du court métrage international aux Nuits en Or 2023

08 juin 2023
Cinéma
L'affiche des Nuits en Or 2023.
L'affiche des Nuits en Or 2023.

Avec une quarantaine de projections dans plus de 30 villes françaises, les Nuits en Or font découvrir les courts métrages primés par les grandes académies de cinéma (César, Oscar, Goya, Bafta, Magritte...) au cours du mois de juin.


Depuis 2011, Les Nuits en Or proposent au public de découvrir le meilleur du court métrage international. Organisé dans plus de 30 villes françaises (Pau, Grenoble, Tours, Nancy, Caen...) au cours du mois de juin, cet événement met en lumière les films primés par les académies de cinéma majeures (Oscar, Goya, David di Donatello, Bafta...), à commencer par les trois courts métrages récompensés aux derniers César. A Paris, une programmation plus complète sera proposée lors de deux soirées gratuites les 21 et 22 juin à l'UGC Odéon (Paris). Ainsi, les films des réalisatrices Elisabeth Subrin, qui a reçu le César du meilleur court métrage documentaire pour Maria Schneider, 1983, Amélie Bonin, César du meilleur court métrage de fiction pour Partir un jour, et du duo Urška Djuki? - Émilie Pigeard, César du meilleur court métrage d'animation pour La Vie sexuelle de mamie, seront projetés.

Parmi les autres courts sélectionnés, Les Grandes Claques d'Annie St-Pierre, Iris 2022 du Meilleur Court Métrage de Fiction au Québec, et An Irish Goodbye de Ross White et Tom Berkeley, récompensé aux Oscars et aux Baftas. Quant à A Film There Might Be About the Future de Josefine Exner, lauréate du Robert du Meilleur Court Métrage Documentaire au Danemark, il invite le spectateur à la réflexion, croquant avec humour et poésie les relations amoureuses.

Diffusée dans d'autres grandes villes à l'international (Rome, Vienne, Mexico, Athènes...), la programmation de cette Nuit en Or 2023, riche de 31 courts métrages, fait également la part belle au cinéma coréen (Light It Up at 2 AM de Jongseok Yoo), lithuanien (Techno, Mama de Saulius Baradinskas), ou encore somalien avec Will My Parents Come to See Me, dans lequel le cinéaste Mo Harawe filme le dernier jour d’un condamné et examine l'absurdité du système pénitentiaire de son pays d’origine.